Impacts

IMPACTS


Créer une forêt Miyawaki, c’est mettre en place un véritable écosystème forestier. Au fil des années, les plantes à fleurs, les herbes, les mousses, et les champignons s’installent sous le couvert des arbres. La forêt sert de refuge à de nombreux animaux : oiseaux, insectes, petits mammifères. Une étude néerlandaise a montré que la biodiversité animale d’une forêt Miyawaki est en moyenne 18 fois plus élevée que celle d’une forêt classique. Suivant les espèces, on peut en observer de 2 à 162 fois plus.

Se mettre au vert près d’une forêt Miyawaki, c’est bénéficier d’un moment de bien-être. Inscrites dans le cadre de vie, les forêts participent à la réduction du stress, des maladies cardio-vasculaires et respiratoires. En temps que lieu de promenade et lors des évènements de plantation, elles favorisent le contact social, particulièrement en milieu urbain.

Une forêt Miyawaki est à la fois une éponge et un parapluie anti-pollution. Les arbres sont capables d’absorber les particules fines toxiques par leurs feuilles et de les éliminer (jusqu’à moins 15% de particules fines). Le couvert forestier a également un effet mécanique de barrière, empêchant une partie de la pollution de le traverser.

En été, des phénomènes d’ilots de chaleur sont courants en milieu urbain. Les forêts, même de petite taille, améliorent le confort thermique des personnes situées dans l’environnement proche. Non seulement l’air est plus frais (-2°C) mais il est également mois sec, et la végétation fournit un ombrage très apprécié.

Une forêt Miyawaki compte parmi les formes de végétation les plus favorables à la réduction des nuisances sonores. Une forêt Miyawaki anti-bruit ne cesse d’améliorer ses performances d’années en années à mesure qu’elle se développe et permet une réduction de l’ordre de 10 dB. Elle représente une alternative aux murs anti-bruit ou un complément peu couteux et apprécié esthétiquement.

La biomasse végétale d’une forêt Miyawaki de 100 m2 et d’âge moyen (quelques dizaines d’années) représente un stock de l’ordre de 6000kg de dioxyde de carbone, c’est-à-dire les deux tiers des émissions annuelles carbone d’un•e européen•ne. Chaque année la forêt absorbe 50 kg de dioxyde de carbone supplémentaires. Si le fait de planter des forêts ne peut compenser toute la pollution, il s’agit tout de même d’une action environnementale pleine de sens, car les forêts ont de nombreux bénéfices.

Une végétation diversifiée telle qu’une forêt Miyawaki stabilise et régénère le sol en formant un système matrice-pilier par l’intrication des racines. Cela protège de l’érosion des sols, des glissements de terrains et des coulées de boue.

Les propriétés arborées peuvent voir leur prix augmenter de quelques milliers d’euros. Il va sans dire qu’un lieu de résidence plus vert et naturel est très attractif : les habitants profitent de tous les bénéfices cités précédemment.

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